Nouvel infirmier

Un van noir tiré par une voiture tout aussi noire, très classe, parvint dans l'entrée du lycée. A son bord, s'impatientait un petite jument à la robe crème. Lorsque la voiture s'arrêta, Amarellis hennit joyeusement, comprenant qu'elle était arrivée à destination. Un jeune homme de grande taille descendit de la voiture et marcha jusqu'au van dont il défit les verrous. Dès qu'elle le vit, Amarellis se calma et enfouit ses naseaux dans le cou d'Alexandre qui eut un demi sourire.
Silencieux, il détacha la jument et la fit reculer calmement. Celle-ci descendit joyeusement et sans tirer, herureuse d'enfin pouvoir sortir.
Il supposait que quelqu'un viendrait présenter sa nouvelle maison en entendant tout ce bruit et attendit en faisant marcher la cremello.

[ je peux ?! ]

(Je t'en prie)

L'hiver et le froid avait gagnée la petite Ile de Horseland. Cette nuit, la neîge n'avait cessé de tomber. En ce levant ce matin là, assez tardivement, Julie découvrit le manteau de neige dans son jardin. Gao, son nordique roux qui avait dormirt toute la nuie dans son lit deux places était fou de joie. La naige était son élément depuis qu'il était né... La vétérinaire, heureuse de voir son chien dans cet état décida d'aller se promener avant de prendre son petit déjeuner. julie se doucha, puis s'habilla chaudement d'un jean, d'un sweet à capuche bleu, par dessus lequel elle passa un gros poncho bien chaud. Julie sorti de chez elle, fermant la porte de sa maison à clef. Gao quand à lui se roula dans la neige. Puis, un bruit l'interpela. Il s'agissait d'un van, qui entrait dans le lycée. Julie alla voir, marchant doucement, laissant son chien courrir dans tous les sens. Lorsque Julie arriva dans la cour du lycée, elle vit une jolie jument crème descendre du van. Gao se mit à grogner en voyant l'homme. Le nordique roux n'aimait pas les hommes et cherchait toujours à protégéer julie sa maitresse. La vétérinaire le fit taire et s'approcha du jeune homme, qui, il fallait bien le dire était séduisant. Julie lui sourit, puis se présenta, en lui tendant sa main, douce...

-Bonjour. Julie Desprès, vétérinaire. Que puis-je pour vous ?!

Lui demanda-t-elle d'un ton assez froid, ne laissant paraitre aucun de ses sentiments, come toujours...

Alexandre ne faisait pas marcher sa jument depuis bien longtemps qu'il entendit des pas s'enfonçer dans l'épais manteau de neige qui rendait la robe d'Amarellis encore plus rosée par contraste. Il redressa la tête et dévisagea une jeune femme qui devait avoir plus ou moins le même âge que lui. Il s'arrêta tandis que la jument crème grattait joyeusement la neige, ne détournant pas son regard bleu de la femme et attendit qu'elle s'approchât, en silence.
Amarellis releva la tête et hennit en direction de la nouvelle arrivante, les yeux fixés sur le chien qui approchait en courant comme un fou.

Elle le salua d'un ton assez froid et distant ce qui ne l'ému guère. Il laissa passer un temps avant de daigner lui répondre tout en lui serrant la main:
-Bonjour.
Nouveau silence.
-C'est à vous de me le dire. Du moins, si vous êtes bien la directrice de ces lieux.
Je viens juste d'arriver, je suis le nouvel infirmier.

Julie posa sa main sur le bout du nez de la jument qui l'acceuillait bien plus gaiement que son propriétaire. Gao lui grognait toujours. Pour se détendre il s'approcha de la jument crème. Il la renifla, puis se mit sur ses pattes arrière pour pouvoir toucher son petit bout du nez. Julie le laissa faire, écouta la réponse, aussi froide que l'atmosphère, du jeune homme. Julie se racla la gorge...

-Je ne suis pas la directrice. Juste vétérinaire et cavalière...

Gao reniflait à présent la belle berline noir. L'odeur devait lui plaire, car il y resta longtemps, avant de... pisser sur la roue avant. Julie ria intérieurement, ne voulant se moquer du pauvre homme devant lui. Elle siffla et caressa son chien, le sourir au lèvre. Il était couillon quand il le voulait et d'un côté, Julie aprécia son geste, plus que naturel. Cela apprendre à ce jeune homme à parler aux femmes. La vétérinaire posa ses mains sur le dos de la jument, par réflexe professionnel. Elle lui palpa le dos, et ne décéla aucune impureté. Le dos de la jument crème était bien musclé, sans vice...

-Votre jument a un dos bien musclé, signe de longue séance de dressage...

Amarellis tendit ses naseaux de velours vers la vétérinaire et souffla dans le creux de sa main... mais se recula bien vite lorsque le chien s'approcha de trop près, les oreilles pointées vers l'avant, curieuse.
Quand elle lui répondit, Alexandre sentit l'estime qu'il portait pour cetet jeune femme remonter d'un cran. Ils avaient donc tous deux plusieurs points en commun: les chevaux et surtout.... la médecine.
-Ce n'est déjà pas si mal que cela.
Son regard suivit la trajectoire du chien et remarqua le liquide jaune dégouliner le long de sa roue avant pour former une petite flaque jaunâtre dans la neige. Il haussa un sourcil, pas plus atteint que ça, et reporta son attention sur la vétérinaire dans le regard de laquelel il crut déceler une lueur d'amusement. Il s'écarta alors de sa jument, laissant la place à la jeune femme de s'assurer de la bonne forme d'Amarellis et répondit avec détachement.
-Oui... C'est son domaine préféré. Une véritable petite danseuse lorsqu'elle le veut.
Il se tut, laissa glisser ses doigts entre les crins blancs et demanda:
-Sauriez-vous où se trouvent les écuries et s'il y a déjà un box à ma disposition ?

[ je sais pas si j'ai le droit, mais ça me démange ]

J'arrivais dans la cour avec Gavroche ... J'étais descendue de mon cheval, et je cherchais une âme vivante, l'atmosphère était très froide, le temps glacial... J'avais vraiment envie de retrouver Zelda...
J'aperçus deux visage qui m'étaient inconnu. Je m'approchais, l'homme tenais un cheval, la femme en avait un aussi, et elle caressait un petit chien en souriant..
Je m'approchais d'eux.

-Bonjour, dis-je quelque peut intimidée de trouver à Horseland des gens qui m'étaient inconnus.

(Mais non, c'est fait pour )
Le bruit de sabots dans la neige fit tourner la tête à Alexandre et déclancha un nouvel hennissement de la part d'Amarellis. Toute heureuse de voir de la compagnie équine, elle tira un peu sur sa corde mais juste pour manifester son enthousiasme de voir un autre cheval.
Son propriétaire n'y prêta même pas attention, occupé à détailler la cavalière et sa monture qui semblaient avoir parcouru un bon petit chemin jusqu'ici.
-Bonjour, répondit-il simplement de sa voix indifférente à tout.

Je dévisageais l'homme. Remarquant ses yeux détaillant chaque partie de moi et Gavroche. Il avait les yeux d'un bleu adorable. Un visage marqué...
* TOUuuut vas bien !! * Me dis-je.

Je me tournais maintenant vers la femme. Gavroche s'approcha du cheval de l'homme. Comme a son habitude, il était d'humeur joueuse. Et ça faisait longtemps qu'il n'avait pas vu d'autres chevaux.
Je regardais la femme et son grand cheval.
- Je me présent, j'espère ne pas vous déranger, Je m'appelle Kris.
Je me tournais vers Gavroche.
- Et voici mon compagnon de chaque jour, Gavroche.

Julie sourit. Elle s'appréta à lui répondre lorsqu'une jeune fille arriva monté sur un cheval, du nom de Gavroche. Ju' retint son chien qui s'aprétait à sauter sur le jeune homme. Elle toisa la jeune fille à peu près du même oeil que Alexandre. Finalement, elle lui sourit poliment et lui répondit un peu trop sévèrement et froidement...

-Bonjour. Julie Desprès vétérinaire... J'allais montrer à ce jeune homme où se trouvait les boxes. Et vous êtes ?!

Lui lança-t-elle d'un ton aussi neutre que le pH d'une eau pure. Ju' obseva la jument crème. Elle devait être une très bonne jument de dressage et cela intéressait Julie. Néanmoins, elle s'abstint tout commentaire ne voulant jeter un froid dans cette rencontre plus qu'inatendu en ce petit matin d'hiver. Finalement elle lâche son nordique roux qui parti en courant dans la neîge. Ju' le laissa. Après tout, c'était un ordique, un chien de traineau et il avait bien le droit de courri aussi librement qu'il le souhaitait. Ce que Julie redoutait c'est qu'il attaque quelqu'un, car c'est un dominant même par rapport aux hommes...

Je regardais le rouquin se défouler. Face au ton sec de la femme, je respirais un grand coup intérieurement, et dis :

- J'étais élève a Horseland, il y a deux ans... Je suis parti pour une raison personnelle, et j'ai décidé de revenir..

Je regardais l'homme et demandais..

- Et vous ... ?

J'étais déçu de me retrouver face à des personnes d'apparence si froide, mais n'aimant pas les préjugés, j'attendais de faire plus ample connaissance si cette chance se présentais...

[ au fait, je suis à pied !! ]

Alexander écouta les 2 filles parler d'une oreille distraite. A présent, il jouait à emmêler ses doigts avec la crinière de sa jument qui s'était remisé à gratter le sol couvert de neige. Quand Kris lui posa une question, il mit quelques secondes à se tourner vers elle pour la fixer droit dans les yeux et quelques autres nouvelles secondes pour lui répondre.
-Je suis Alexandre Weil, le nouvel infirmier. Je n'ai jamais vu cet endroit auparavant.
Adorant analyser els réactions des gens, il constata non sans surprise que l'adolescente était mal à l'aise face aux deux jeunes adultes si distants.
D'un naturel peu bavard, il reporta son regard sur sa jument, mettant un terme à la question. Il avait déjà hâte de se retrouver dans son bureau où il pourrait soigner les cavaliers...

Zelda revana de promenade avec Manolito, son hongre lusitanien isabelle, Zelda était à cru, au licol en corde. A son habitude, en tenue de ville à cheval.

Elle vu beaucoup de monde et un van
*Serait-il déjà là?*

Elle mit Manolito au trot et entra dans la propriété de Horseland, elle s'arrêta à coté du groupe et tourna son regard vers le nouveau venu.

-Bonjour, je suis Zelda, la directrice de Horseland ainsi que psychologue..

Elle tendit sa main

De nouveau, le son de sabots s'enfonçant dans la neige parvint aux oreilles d'Alexandre qui se retourna: une femme blonde montant une bel isabelle sans selle et pour unique attache, un bête licol et une corde. Il eut un demi-sourire, comme à son habitude lorsqu'il souriait, et patienta que cheval et cavalière s'approche.
C'était donc elle, Zelda....
-Content de vous rencontrer, Zelda, dit-il en inclinant légèrement la tête avant de braquer à nouveau son regard dans les prunelles de la directrice tout en lui serrant poliment la main.
-Je pense que vous avez deviner mon identité. Alexandre Weil, le médecin.

Amarellis, heureuse de tant de compagnie ne savait plus où donner de la tête; elle avait d'abord apprécié la présence de Gavroche en soufflant doucement sur ses naseaux et maintenant elle fixait intensément Manolito.

Zelda inclina la tête legerement

-De fait, votre venue m'était annoncée.

Elle releva la tete et regarda la jument qui fixait Manolito

-Votre jument, Amarellis, c'est bien cela?

Julie se senti d'un coups très opressée. La directrice du lycée venait d'arrivée. Malgré la présence des chevaux, Julie n'était guère à l'aise dans tout cela. Elle regarda sa montre et décida qu'il était temps d'offrir une petite promenade à Gai Luron. Mais son ventre grogna, lui disant qu'il fallait qu'elle déjeune. Julie soupira. Elle siffla son chien qui revint à ses pieds. La vétérinaire leur sourit poliement.

-Je m'excuse, le devoir m'appelle. Alexandre, les boxes se trouvent dans cette direction. Il y a sûrement un box de libre pour ta jument. Mesdames, monsieurs, bonne journée...

Dit-elle d'un ton distant et froid, aussi froid que la neige qu'il y avait sous leurs pieds. Julie entra dans la sellerie. Elle prit une pomme qu'elle mangea et un carotte pour Gai Luron. La vétérinaire fut acceuillit joyeusement par son étalon. Elle lui donna sa carrotte, puis lui cura les pieds, le brossa et lui démêla les crins. Julie passa un filet sur la tête de l'ahflinger croisé Pur Sang, puis monta dessus, n'enlevant pas la couverture. Elle ne portit pas de bombe, comme à son habitude, et juste un jeans et son poncho. Gao, tout joyeux de sortit aboya. Gai Luron voulu joeur et sorti des écuries au trot. Une fois dehors il s'immobilisa et secoua l'encolure, se levant de quelques centimètres. Julie sourit à l'entousiasme de son cheval et parti en premenade, dos aux chevaux et à leur propriétaire qui se trouvait sur le parking du lycée.

Oui... Un afflux de monde tout d'un coup. Amarellis, elle était ravie mais la solitude commencait à manquer à Alexandre. La directrice du lycée et la jeune cavalière avec son cheval lui paraissaient très accueillantes et sincères mais il se réjouissait déjà de prendre possession de son nouvel habitat.
-Oui, Amarellis, répéta-t-il d'un ton absent.

Brusquement, la vétérinaire annonça son départ et leur souhaita à tous une bonne journée. Alexandre ne répondit pas. Qu'aurait-il pu dire de plus ? Peut-être...
-Merci.
C'était simple, mais c'était déjà ça. Il se retourna vers Zelda.
-Je pense que je vais rentrer Amarellis le plus vite possible, elle doit être exténuée par le voyage.

Zelda approuva

-Exellente idée. Son box est déjà près. Votre infirmerie est là bas, dit elle en montrant d'un geste large vers la gauche.

-Une maison vous a été reservée. Elle se trouve dans le quartier. Sur ce, je vous laisse vous installer, à bientot !

Zelda mit Manolito au pas et se dirigea vers les prés.

Je restais seule dans la cour ... [ suite sur mon poste d'arrivée je suppose ...]
L'homme dont j'avais finis par connaitre le nom s'appelait Alexandre. Je l'avais trouvé très observateur, il montrait très peu ses sentiments, mais au moins lorsque il en avait, a mon avis il devaient être sincères.
Je rattrapais Zelda, pour savoir où Gavroche allait pouvoir " loger "

[ je continue dans mon poste ! ]

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